Jésus a eu pitié de la foule qui l'avait suivi et qui était piégée par la nuit et la distance. Il lui a permis de se rassasier. Paradoxalement les ennuis commencent, les incompréhensions se dévoilent. Le Rabbi refuse d'être pris pour un chef, pour un gourou, pour un meneur. Il refuse que ses auditeurs abdiquent leur liberté. Jésus n'a pas fait un miracle, un prodige pour être vénéré . Il a voulu leur dire que Son Père est attentif à notre misère, qu'Il ne nous abandonne pas à nos faims.
S'adressant à des Juifs, le Nazaréen ose leur affirmer qu'Il est plus important que la manne au désert : " Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura plus jamais faim ; celui qui croit en moi n'aura plus jamais soif." Comment lire cette affirmation sans tomber dans une adoration magique ?
Jésus , par sa vie, ses actes et ses paroles, peut soulager notre faim de vie, de bonheur, d'espérance, de paix, de justice. Pour moi, sa vie est unique, c'est par elle que je crois en Lui .
Il dit de son cousin le Baptiste qu'il n'y pas eu de plus grand prophète que lui, et il ajoute que le plus petit dans le royaume est plus grand que le Baptiste.
Il est le seul dans le Temple à voir cette pauvre veuve qui met quelques piécettes dans un tronc . Jésus la montre en exemple car elle donne de son essentiel et non de son superflu.
Il ne dit pas de la femme qui touche son manteau qu'elle est une hystérique . Il la guérit.
Il pratique sa religion, comme tout vrai juif, au temple, à la synagogue, ce qui ne lui interdit pas de dire d'un centurion romain et d'une cananéenne qu'il n'a jamais vu de tels croyants en Israël, alors qu'ils ne sont pas juifs.
Il proclame la fin des pleurs, des malheurs, des persécutions. " Heureux " est le slogan de son programme de vie.
Ayant traversé le doute et les souffrances , " Pourquoi m'as tu abandonné ? " , il continue à croire en l'Eternel et il Lui demande de pardonner à ses bourreaux.
Le coeur de sa vie se résume en sa prière : Le Créateur n'est pas tout puissant, caché, mystérieux. C'est un père attentif, tendre, espérant.
Son Père est Notre Père.
S'adressant à des Juifs, le Nazaréen ose leur affirmer qu'Il est plus important que la manne au désert : " Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura plus jamais faim ; celui qui croit en moi n'aura plus jamais soif." Comment lire cette affirmation sans tomber dans une adoration magique ?
Jésus , par sa vie, ses actes et ses paroles, peut soulager notre faim de vie, de bonheur, d'espérance, de paix, de justice. Pour moi, sa vie est unique, c'est par elle que je crois en Lui .
Il dit de son cousin le Baptiste qu'il n'y pas eu de plus grand prophète que lui, et il ajoute que le plus petit dans le royaume est plus grand que le Baptiste.
Il est le seul dans le Temple à voir cette pauvre veuve qui met quelques piécettes dans un tronc . Jésus la montre en exemple car elle donne de son essentiel et non de son superflu.
Il ne dit pas de la femme qui touche son manteau qu'elle est une hystérique . Il la guérit.
Il pratique sa religion, comme tout vrai juif, au temple, à la synagogue, ce qui ne lui interdit pas de dire d'un centurion romain et d'une cananéenne qu'il n'a jamais vu de tels croyants en Israël, alors qu'ils ne sont pas juifs.
Il proclame la fin des pleurs, des malheurs, des persécutions. " Heureux " est le slogan de son programme de vie.
Ayant traversé le doute et les souffrances , " Pourquoi m'as tu abandonné ? " , il continue à croire en l'Eternel et il Lui demande de pardonner à ses bourreaux.
Le coeur de sa vie se résume en sa prière : Le Créateur n'est pas tout puissant, caché, mystérieux. C'est un père attentif, tendre, espérant.
Son Père est Notre Père.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire