Ce dimanche, les textes nous parlent de l'eucharistie. Chaque année, après la fête de la Trinité, la liturgie met l'accent sur l'eucharistie. " Corps et sang du Christ " titrent les feuilles paroissiales. Je préfère parler du " repas de Dieu." Le Seigneur nous fait signe, nous invite à un repas. Parler d'abord du corps et du sang c'est se situer, pour beaucoup de nos contemporains, dans le merveilleux, voire l'incroyable. Pourquoi ne pas mettre l'accent sur l'invitation à un repas ?
Je ne suis pas maso, vous non plus ! vous n'invitez pas à un repas ceux que vous n'aimez pas, que vous subissez à longueur de journée. Le repas est un temps privilégié de rencontre entre amis. Jésus leur a dit : " Je ne vous appelle plus serviteurs , mais amis ." Dans cette logique de la rencontre amicale, il nous invite à refaire à sa suite l'espérience du dernier repas : " Faites cela en mémoire d e moi." Vivons nous l'eucharistie comme une rencontre entre amis de Dieu qui s'aident à écouter la Parole, à la comprendre, à prier, à partager le coeur de leurs existences.
Dieu nous invite à un repas, et comme tout bon cuisinier, il nous propose de bons mets. Communier, ce n'est pas d'abord réfléchir à la transsubstantiation, c'est comprendre que le très Haut nous donne comme alimentation le Partage de sa Vie. Le célébrant ne casse pas la grande hostie, il la Partage. Communier, c'est redire à la suite du Nazaréen que la Vie du Père réside dans le partage de la prière, de la justice de l'écoute, de l'amitié. Croire en la présence réelle, c'est croire que ce partage nous est donné par le Galiléen ressuscité des morts et qu'il est le Chemin, la Vérité et la Vie.
Dieu ne nous convie pas à un repas sacrificiel. Comme Jésus il nous invite à sa propre table pour répondre à notre désir de vie et non de survie.
Je ne suis pas maso, vous non plus ! vous n'invitez pas à un repas ceux que vous n'aimez pas, que vous subissez à longueur de journée. Le repas est un temps privilégié de rencontre entre amis. Jésus leur a dit : " Je ne vous appelle plus serviteurs , mais amis ." Dans cette logique de la rencontre amicale, il nous invite à refaire à sa suite l'espérience du dernier repas : " Faites cela en mémoire d e moi." Vivons nous l'eucharistie comme une rencontre entre amis de Dieu qui s'aident à écouter la Parole, à la comprendre, à prier, à partager le coeur de leurs existences.
Dieu nous invite à un repas, et comme tout bon cuisinier, il nous propose de bons mets. Communier, ce n'est pas d'abord réfléchir à la transsubstantiation, c'est comprendre que le très Haut nous donne comme alimentation le Partage de sa Vie. Le célébrant ne casse pas la grande hostie, il la Partage. Communier, c'est redire à la suite du Nazaréen que la Vie du Père réside dans le partage de la prière, de la justice de l'écoute, de l'amitié. Croire en la présence réelle, c'est croire que ce partage nous est donné par le Galiléen ressuscité des morts et qu'il est le Chemin, la Vérité et la Vie.
Dieu ne nous convie pas à un repas sacrificiel. Comme Jésus il nous invite à sa propre table pour répondre à notre désir de vie et non de survie.
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