" Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois j'ai voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous n'avez pas voulu !" Mt 23,37.
Chez Marc 12,38-44, Jésus s'en prend aux scribes en robes solennelles qui " dévorent les veuves et affectent de prier longuement." Le message de Jésus s'inscrit dans le courant prophétique juif. Comme son cousin, Jean Baptiste, il n'hésite pas à condamner ouvertement les hypocrisies de la religion de son temps. Dans la bible, les prophètes ne sont pas des voyants, des devins, mais des porte parole de la Parole du Très haut, toujours actuelle pour vivre sainement la prière et la justice. Jésus, comme Amos, Jérémie et tant d'autres, a surmonté ses peurs pour être le héraut de la justice de Dieu, de la seule véritable religion, celle qui respecte les veuves et les orphelins, en puisant sa détermination dans la contemplation. Mais les prophètes nous font peur, nous dérangent tant leur parole est parfois raide, nette, presque brutale.
" Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecins, mais les malades; je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs." Marc 2,17.
" Personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres....mais à vin nouveau, outres neuves." Marc 2,22.
" Ce qui est permis le jour du sabbat, est ce de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver un être vivant ou de le tuer?" Marc 3,4.
" Esaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, car il est écrit : Ce peuple m'honore des lèvres mais son coeur est loin de moi." Marc 7,6.
" Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu." Marc 10,24.
" Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations. Mais vous en avez fait une caverne de bandits." Marc 11,17.
A nous aujourd'hui de laisser résonner dans nos vies ces paroles prophétiques du Rabbi de Nazareth. Si le Père nous les confie, ce n'est pas pour nous culpabiliser sottement, mais pour faire fructifier la Justice et la Prière.
Chez Marc 12,38-44, Jésus s'en prend aux scribes en robes solennelles qui " dévorent les veuves et affectent de prier longuement." Le message de Jésus s'inscrit dans le courant prophétique juif. Comme son cousin, Jean Baptiste, il n'hésite pas à condamner ouvertement les hypocrisies de la religion de son temps. Dans la bible, les prophètes ne sont pas des voyants, des devins, mais des porte parole de la Parole du Très haut, toujours actuelle pour vivre sainement la prière et la justice. Jésus, comme Amos, Jérémie et tant d'autres, a surmonté ses peurs pour être le héraut de la justice de Dieu, de la seule véritable religion, celle qui respecte les veuves et les orphelins, en puisant sa détermination dans la contemplation. Mais les prophètes nous font peur, nous dérangent tant leur parole est parfois raide, nette, presque brutale.
" Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecins, mais les malades; je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs." Marc 2,17.
" Personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres....mais à vin nouveau, outres neuves." Marc 2,22.
" Ce qui est permis le jour du sabbat, est ce de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver un être vivant ou de le tuer?" Marc 3,4.
" Esaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, car il est écrit : Ce peuple m'honore des lèvres mais son coeur est loin de moi." Marc 7,6.
" Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu." Marc 10,24.
" Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations. Mais vous en avez fait une caverne de bandits." Marc 11,17.
A nous aujourd'hui de laisser résonner dans nos vies ces paroles prophétiques du Rabbi de Nazareth. Si le Père nous les confie, ce n'est pas pour nous culpabiliser sottement, mais pour faire fructifier la Justice et la Prière.
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1 commentaire:
Merci pour la force de ce commentaire !
Il est bon que des représentants de notre église catholique nous rappellent ainsi les messages du Christ et de ceux qui l'ont précédé, et tant mieux si ça nous bouscule, car s'il en est ainsi c'est que nous nous étions assoupis.
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