Lorsque Jésus déclare : " Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ignore ce que veut faire son maître ; maintenant, je vous appelle mes amis, car tout ce que j'ai appris de mon Père, je vous l'ai fait connaître " Jean 15,15, il se souvient de l'attention, de la fidélité, du respect de l'Eternel pour nous les humains. Toute l'histoire biblique est tissée de cette amitié entre le Créateur et les humains.
Le Père donne la création aux premiers humains pour qu'ils la fassent fructifier, qu'ils en soient les responsables, qu'ils y créent les conditions de la paix, de l'harmonie pour bien vivre sur cette terre. " Et Dieu vit que cela était bon."
L'histoire d'Isaac, qui nous scandalise tant à juste titre, n'a de sens que si nous y comprenons , comme Abraham, que son Dieu ne veut pas de sacrifices humains, à la différence des autres religions de l'époque. Abraham et Isaac sont des amis de Dieu, comment pourrait il demander le sacrifice d'un de ses amis ?
L'Eternel, celui dont le nom ne doit pas être prononcé, selon nos frères juifs, se confie à Moïse : " J'ai vu, j'ai vu la misère de mon peuple ."
" Même si une mère abandonnait ses enfants, Israël je ne t'abandonnerais pas . " Tous les livres du Premier Testament ne cessent de nous redire, à travers les joies et les peines d'Israël, l'amitié du créateur pour l'humanité. Abraham, le premier des croyants, est lui même appelé " l'ami de Dieu". Le seul, dans la Bible, qui porte ce nom !
A la suite du Père, le Nazaréen nous considère comme ses amis. Jésus avait des amis proches dans le village de Béthanie, Marthe, Marie et Lazare et Jean nous dit qu'il aimait y venir s'y reposer.
Jésus confie l'intime de sa prière, de sa foi dans les discours d'adieux de l'Evangile johannique.
Le Rabbi galiléen n'a pas prêché seul la Bonne Nouvelle. Il ne s'est pas retiré dans un ermitage au désert de Juda surplombant la Mer Morte. Il n'a eu de cesse de partager la vie de ses compatriotes. Jamais il ne les a traités comme des serviteurs. Sur la croix, lorqu'il confie sa mère à Jean , quel témoignage d'amitié entre ces deux hommes !
Cultivons cette amitié dans la prière. Dieu ne nous demande pas de rendre des comptes, de nous justifier. Il nous invite à Lui faire confiance en acceptant Son amitié. " J'aime le Seigneur, Il entend le cri de ma prière ." Psaume 114.
Le Père donne la création aux premiers humains pour qu'ils la fassent fructifier, qu'ils en soient les responsables, qu'ils y créent les conditions de la paix, de l'harmonie pour bien vivre sur cette terre. " Et Dieu vit que cela était bon."
L'histoire d'Isaac, qui nous scandalise tant à juste titre, n'a de sens que si nous y comprenons , comme Abraham, que son Dieu ne veut pas de sacrifices humains, à la différence des autres religions de l'époque. Abraham et Isaac sont des amis de Dieu, comment pourrait il demander le sacrifice d'un de ses amis ?
L'Eternel, celui dont le nom ne doit pas être prononcé, selon nos frères juifs, se confie à Moïse : " J'ai vu, j'ai vu la misère de mon peuple ."
" Même si une mère abandonnait ses enfants, Israël je ne t'abandonnerais pas . " Tous les livres du Premier Testament ne cessent de nous redire, à travers les joies et les peines d'Israël, l'amitié du créateur pour l'humanité. Abraham, le premier des croyants, est lui même appelé " l'ami de Dieu". Le seul, dans la Bible, qui porte ce nom !
A la suite du Père, le Nazaréen nous considère comme ses amis. Jésus avait des amis proches dans le village de Béthanie, Marthe, Marie et Lazare et Jean nous dit qu'il aimait y venir s'y reposer.
Jésus confie l'intime de sa prière, de sa foi dans les discours d'adieux de l'Evangile johannique.
Le Rabbi galiléen n'a pas prêché seul la Bonne Nouvelle. Il ne s'est pas retiré dans un ermitage au désert de Juda surplombant la Mer Morte. Il n'a eu de cesse de partager la vie de ses compatriotes. Jamais il ne les a traités comme des serviteurs. Sur la croix, lorqu'il confie sa mère à Jean , quel témoignage d'amitié entre ces deux hommes !
Cultivons cette amitié dans la prière. Dieu ne nous demande pas de rendre des comptes, de nous justifier. Il nous invite à Lui faire confiance en acceptant Son amitié. " J'aime le Seigneur, Il entend le cri de ma prière ." Psaume 114.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire