Ce passage de Marc 5,21-43, met en scène trois personnes : Un chef de synagogue, Jaïre, une femme très souffrante, elle avait des pertes de sang depuis douze ans, et Jésus. Ces trois personnages, situés socialement différemment, ont la même attitude dans la vie. Ils ne se résignent pas au malheur. Ils ne disent pas de leur souffrance : c'est ainsi, il faut l'accepter ! Jaïre, devant la maladie de sa fille, cette femme qui irait de nos jours dans un centre anti-douleur, Jésus devant l'annonce de la mort de l'enfant, espèrent un avenir de vie, de paix, de réconciliation personnelle.
Ils se battent pour cela : Jaïre doit fendre la foule pour tomber aux pieds de Jésus et le supplier instamment. Un chef de syangogue qui se met à genoux devant le Rabbi de Nzazareth et le supplie ! Un dignitaire religieux juif qui reconnaît un galiléen marginal, quel renversement des rôles.
Une femme qui souffre physiquement, qui a consulté de nombreux médecins sans résultat et qui espère encore, qui se refuse à la résignation qui pourrait lui sembler si logique, si naturelle.
Jésus qui prend conscience devant Jaïre que la mort n'est pas le denier mot de la création.
Jaïre, cette femme, Jésus sont de grandes et belles figures de croyants. Non parce qu'ils réciteraient des prières , des credo, non parce qu'ils croiraient en des forces mystérieuses. Tous les trois espèrent que le Créateur ne nous a pas abandonnés, qu'il nous a donné la vie pour qu'elle soit belle et féconde. Ce n'est pas la vie de voir son enfant mourir. Ce n'est pas la vie de souffrir tout le temps. Marc nous redit à travers ses trois personnages que notre foi se mesure à l'énergie que nous mettons pour que la création soit belle et bonne. L'Eternel nous donne sa force pour que nous refusions la résignation qui est indigne d el'homme. Nous ne pouvons rester seuls pour cette tâche, tant la tragédie humaine est parfois bouleversante, mais avec d'autres nous pouvons briser quelques murs pour que le chant du Très Haut adoucisse notre condition.
P.S. en Juillet et Août, un seul rendez vous hebdomadaire pour se ressourcer !
Claude P. ton adresse ?
Ils se battent pour cela : Jaïre doit fendre la foule pour tomber aux pieds de Jésus et le supplier instamment. Un chef de syangogue qui se met à genoux devant le Rabbi de Nzazareth et le supplie ! Un dignitaire religieux juif qui reconnaît un galiléen marginal, quel renversement des rôles.
Une femme qui souffre physiquement, qui a consulté de nombreux médecins sans résultat et qui espère encore, qui se refuse à la résignation qui pourrait lui sembler si logique, si naturelle.
Jésus qui prend conscience devant Jaïre que la mort n'est pas le denier mot de la création.
Jaïre, cette femme, Jésus sont de grandes et belles figures de croyants. Non parce qu'ils réciteraient des prières , des credo, non parce qu'ils croiraient en des forces mystérieuses. Tous les trois espèrent que le Créateur ne nous a pas abandonnés, qu'il nous a donné la vie pour qu'elle soit belle et féconde. Ce n'est pas la vie de voir son enfant mourir. Ce n'est pas la vie de souffrir tout le temps. Marc nous redit à travers ses trois personnages que notre foi se mesure à l'énergie que nous mettons pour que la création soit belle et bonne. L'Eternel nous donne sa force pour que nous refusions la résignation qui est indigne d el'homme. Nous ne pouvons rester seuls pour cette tâche, tant la tragédie humaine est parfois bouleversante, mais avec d'autres nous pouvons briser quelques murs pour que le chant du Très Haut adoucisse notre condition.
P.S. en Juillet et Août, un seul rendez vous hebdomadaire pour se ressourcer !
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